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Carnet de voyage : Argentine |
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Splendides paysages colorés autour de Salta - 26/01/2005
Bonjour à tous!
Vous pourriez penser que les vallées multicolores n'existent pas? ou peut-etre seulement dans les tableaux de picasso, ou de sa palette de couleurs, détrompez-vous, Les provinces de Salta et Jujuy offrent des paysages d'une infinité de couleurs, impossible à les compter.
Les couleurs se juxtaposent sous différentes formes donnant des spectacles que l'on ne se lasse pas. Iruya, Purmamarca, et la valle del Toro, sont 3 sites à ne pas manquer si vous voyagez au nord Est de l'argentine, pour nous, c est a ne pas manquer pour tout voyage en Argentine....
La laguna de Pozuelos vaut un detour, une concentration de Flamands roses jamais rencontrés en Amérique du Sud (seulemement au Kenya ou j'en ai vu beaucoup plus). Malheuresement, on les voit de loin. Les grandes salinas, impressionnant sauf si on a déja fait le Salar de Uyuni en Bolivie. La ruta 40, une aventure sur Altiplano à croiser Lama, Viscuna, et renard (on en a vu un!). Les Andes du Nord Ouest argentins font partis d'un des highlights de L'argentine.
Méfiez vous tout de meme des Périodes de Jan et fev ou les hotels sont complets, Les mois de novembre et décembre sont plus propices ou alors, prenez une tente!! Vu les prix des tours organises, sitot que l on est 2, Il vaut bien mieux louer une voiture ou vous verrez 2 fois plus de choses en 2 fois moins de temps, Le stop ne marche pas si bien et on a vu beaucoup de backpakers attendre longtemps pour se déplacer (les bus sont aussi souvent complets, reservez à l'avance).
Que de paysages traversés en une semaine dans les environs de Salta au nord-ouest de l'Argentine. Nous avons loué une voiture qui nous a emmenés dans des vallées multicolores en passant par des cols à plus de 4000 mètres et en traversant l'altiplano au milieu des lamas
pour atteindre la frontière avec la Bolivie ou encore pour visiter des sites archéologiques préincas, flâner dans de jolis petits villages très animés à la rencontre des habitants quechua. Et toujours en admirant ces paysages splendides.
Tout avait encore une fois si mal commencé avec la perte d'une de mes branches de lunettes dans les toilettes, un froid de canard et la pluie, Jujuy une ville fort peu intéressante et tout ça après une nuit dans le bus. Mais 5 euros ont suffit à réparer mes lunettes, 50 francs pour s'acheter un pull. Et un peu d'efficacité nous a permis de trouver une voiture à 930 pesos (300 euros) pour la semaine, une Fiat Palio de 50000 kms, pour partir dans l'après-midi.
De nombreux petits villages nous attendent sur la route:
- Humahuaca, LA ville de la vallée, avec ses églises, ses rues où il est agréable de flâner et ses nombreux marchands de souvenirs. Nous retrouvons même certains souvenirs achetés il y a deux ans en Bolivie! En effet, la première chose qui nous a frappé en sortant
de Jujuy, c'est la différence de population. Nous quittons les Argentins d'origine européenne, bien blancs, pour une population plus locale bien typée quechua. On se croirait revenus en Bolivie!
- La petite ville de Volcan est en plein carnaval. Chansons locales très entraînantes, costumes très colorés et cotillons au rendez-vous.
- A Tumbaya, nous tombons en plein rodéo! Nous souffrons pour le pauvre gars sur lequel le cheval se couche, ou les gamins qui semblent être comme des ressorts sur les chevaux bien déterminés à les faire tomber!
- Tilcara nous attend avec sa foule pour l'ouverture de son célèbre festival de rock. Tout est complet ici, même les campings. Du coup plein de tentes un peu n'importe où. Nous dormons avec ces
campeurs sauvages. La place centrale est très agréable entourrée de beaux bâtiments, notamment un musée dont la qualité surprant pour un si petit village et qui donne un bon aperçu des civilisations précolombiennes.
- Coctaca, à seulement 9 kms de la route goudronnée, mais qui semble n'être entourrée que de champs de cailloux et écrasée par la chaleur.
- Uquia et sa petite église restaurée avec ses peintures d'anges en costumes de guerre espagnoles! Ce n'est qu'une des nombreuses églises que nous visiterons. Car ici, même dans des tous petits
villages de moins de 100 habitants, il y a une grande église, blanche la plupart du temps qui la fait ressortir sur la terre rouge.
- Iruya, une petite ville dans un superbe cadre à 2 heure (mais seulement 55 kms) de la route principale. Perdue? N'y pensez pas pendant les vacances des Argentins. Nous croisons trois bus plein de backpackeurs et au village, bien d'autres sont déjà là. Nous verrons
beaucoup de ces jeunes voyages en auto stop sur les routes pourtant peu fréquentées par les voitures. Certains sont aussi en vélo!
- Ce village de 100 habitants dont nous avons déjà oublié le nom, perdu sur l'altiplano au bord de la route 40 et qui cultive douloureusement son jardin sous serre pour avoir des tomates et quelques fruits.
- Abra Pampa, une ville dont on a envie de s'enfuir et où nous avons eu du mal à trouver une petite buvette pour prendre un petit déj'.
- Yavi, un village bien entretenu avec une belle église (encore!) et où on a envie de s'arrêter pour prendre son temps.
- Cachi, un petit village pourtant bondé de touristes (tout est encore plein!) avec son musée intéressant.
- Cafayate, une ville au milieu des vignobles où nous apprécions le Torrontes, un vin très sec, une spécialité du pays. A boire bien frais avec fromage et viande fumée au milieu des vignes de notre maison d'hôtes!
- Purmarcara avec son agréable place animée par les marchands, mais surtout son cadre avec sa montagne aux 7 couleurs!
- Et tous ces autres petits villages qui nous ont complètement dépaysés. Ces gens ont vraiment un mode de vie bien différent de tous ceux que nous avons vus en Argentine. Cela crève les yeux que cette région est une des plus pauvre du pays : des maisons en torchis, un four à pain à l'extérieur, un petit coin où on
entasse des morceaux de tôle, des chaises cassées ou autre bric à brac car tout peu reservir. Et un peu à l'écart, le cimetière entourré de murs et dont presque toutes les tombes sont couronnées de fleurs artificielles.
- Et dans un registre différent, n'oublions pas La Quiaca, la ville frontière avec la Bolivie. Quel spectacle! La ville en elle-même est complètement sans attrait, mais quelle animation! En arrivant, nous
tombons dans une rue où tout le monde porte ce que nous prenons pour des sacs de platre. En nous approchant du poste frontière, nous retrouvons ces mêmes Boliviens en train d'attendre on ne sait quoi
derrière une barrière.
Après avoir épuisé notre patience à essayer de passer la frontière, nous nous apprêtons à repartir, quand tout à coup, la barrière s'ouvre. La marée bolivienne déferle! Nous voyons tous ces gens, portant des fardeaux énormes sur le dos rentrer chez eux. On dirait vraiment une fourmillière.
Que font-ils de ces sacs? Et bien, nous apprenons que ce sont des sacs de farine!! Car si en Bolivie, le sac de 50 kgs coûte 100 pesos, il coûte 70 pesos en Argentine. De l'argent assez facilement gagné en ne faisant que traverser la frontière, nous dit un Bolivien avant de partir avec ses 100 kgs sur le dos. Incroyable! Et dire
que notre guide (qui date d'avant la crise économique en Argentine) nous disait que tous les Argentins allaient faire leurs courses en Bolivie car tout était moins cher. Les temps ont bien changé!
Pour accroitre l'attrait de la région, un peu d'histoire :
- Le nombre de sites archéologiques dans la région est très important : les Incas sont arrivés jusqu'ici, mais auparavant existaient de nombreuses tribus. Que ce soit à Tilcara où le site a été entièrement restauré ou dans les nombreuses autres ruines, nous sommes surpris d'apprendre que là où aujourd'hui quelques centaines de personnes vivent, plusieurs milliers de personnes vivaient vers l'an 1000. Tous ont en commun le fait qu'ils mettaient les restes de leurs morts dans des urnes qui étaient enterrées dans la maison. La
plupart étaient principalement agriculteurs, mais le commerce était florissant dans la vallée avec de nombreuses poteries.
- Les bâtiments coloniaux sont évidemment mieux conservés, dont un ancien relai de poste. La vallée de Humahauca faisait partie de la route entre Buenos Aires et Lima, sachant que la seule université était en Bolivie. Le relai a donc vu passé tous les étudiants
célèbres d'Argentine (dont des présidents). Tous les voyageurs avaient besoin d'une autorisation de transport signée par le gouverneur et devaient avoir un livret de voyage. Interdit de voyager avec ses propres chevaux. Obligation de voyager avec le réseau de relai. Il y avait un relai tous les 25-30 kms où l'on peut trouver un hébergement avec nourriture et chevaux frais, qui était
tenu par une famille. Mais après l'arrivée du train, ce réseau a été abandonné.
- On retrouve l'architecture coloniale partout avec un plan invariable de village : l'église, la place principale devant avec généralement un parc agréable, et le reste. Pour les noms de rues, demander la Plaza San Martin pour aller au centre ville. Sinon vous
pouvez essayer le 25 de Mayo, le 9 de Julio. Bolivar a aussi pas mal la cote.
Pour ajouter au plaisir des yeux, ajoutons le plaisir du goût : les fruits ici sont délicieux et à un prix dérisoire (1.5 euro pour un litre de jus d'orange frais (ou 0.5 euro le kilo d'orange au marché!)). N'oublions pas les pêches, les prunes ou les poires. On
trouve aussi des mangues, des bananes, des ananas. Le menu des restos est relativement invariable avec la Milanesa (veau pane), la Napolitana (une sorte de cordon bleu), le Biffe à la Pobre et les empanadas.
Les spécialités locales sont à base de maïs avec les humitas (avec du fromage) ou tamales (avec de la viande) cuits dans des feuilles de maïs. Une cuisine relativement basique toutefois. Vous pouvez essayer la curieuse coutume locale qui consiste à ajouter soit de
l'eau gazeuse, soit du Fanta dans le vin! Vraiment bizarre! Mieux vaut les voir tous avec leur thermos boire leur mate (thé local), une véritable institution ici.
Ajoutons une pincée de rigolade avec notamment ce gars à la station service qui, pour un achat de 42 pesos, ne savait pas rendre la monnaie sur 100 (et on oublie les centavos, les centimes locaux). 20 minutes pour faire un plein, c'est un record! Ce serveur qui nous double le prix des plats entre le début et la fin du repas. Ces
gamins qui font du stop, vous chantent une chanson dans la voiture pour vous demander des sous ensuite. Ce flic qui contrôle la circulation à qui nous demandons s'il y a de l'essence dans les villes suivantes et qui nous dit non, quand nous trouvons
deux stations services par ville ensuite! Ce parc que nous avons mis des heures à atteindre au milieu de l'altiplano pour observer les flamands roses qui se sont tous envolés quand nous étions encore à plus de 500 mètres d'eux! Et dire que nous avions dû traverser des cours d'eau (et Nicolas qui me porte sur son dos)! Ce vieux
monsieur avec ses lunettes cassées bien gentil qui nous indique notre chemin mais qui pue et qui nous fait la bise! Et ces gentils Argentins qui me disent que je parle bien espagnol!!
Un petit coup de stress avec notre réservoir d'essence qui fuit le dernier jour. Il faut dire qu'avec tous les cailloux que cette voiture se prend sur le dessous, ce n'est pas trop étonnant. La plupart des routes que nous avons prises ne sont en effet pas
goudronnées et même si elles sont relativement plates, on ne peut pas empêcher les cailloux de sauter!
Un peu d'aventure avec tous les rio à traverser. Attention à ce qu'ils ne soient pas trop profonds pour notre petite voiture. Et quand ils sont secs, attention à la pluie. Car alors, des coulées de boue et de cailloux déferlent et peuvent bloquer les routes. De gros orages sont tombés la semaine dernière et l'épaisseur d'éboulis sur les routes et sur le chemin de fer est impressionnant : jusqu'à 1 mètre! Et le rio est sec à notre passage!
Du risque avec ces camions et bus qui déboulent sans ralentir dans des virages en épingle! Et des frissons à penser que nous pourions tomber en panne sur des routes où nous croisons une voiture
toutes les 2 heures en moyenne. Ah! cette fameuse Ruta 40! A
la fin du mail, une petite transgression qui nous ramène il y a un mois avec notre première rencontre avec la Ruta 40, une route mythique d'Argentine car elle traverse les Andes du Nord au sud du pays : un petit pincement au coeur avec la mort de cette poule qui ne trouve rien de mieux que de se jeter sous les roues de la voiture. Mais rassurez vous, la voiture qui nous collait un peu trop derrière s'est arrêtée pour en faire son repas de midi!!!
Pour nous accompagner sur les routes, de nombreuses petites chapelles : certaines sont pour des morts, mais la plupart sont pour Diffenta Correas, une "sainte" locale, non reconnue par l'éeglise. Facile à reconnaître, sa chapelle est toujours entourrée de
bouteilles, de pneus ou autres pièces de voiture. Ne croyez pas à une décharge! Les gens lui laisse de l'eau pour qu'elle ne meure plus de soif et de quoi reconstruire une voiture pour lui permettre de suivre son mari à la guerre! Un culte assez incroyable. Vous
avez aussi les chapelles entourrées de drapeaux rouges pour un Gaucho, le Robin Wood local.
Et malgre tout ça, ce ne sont ni les villages, ni la vie locale qui font de Salta une destination majeure. Ce sont ses paysages!?!
Vous pourriez penser que les vallées multicolores n'existent pas? ou peut-être seulement dans les tableaux de Picasso, ou de sa palette de couleurs, détrompez-vous, les provinces de Salta et Jujuy offrent des paysages d'une infinité de couleurs, impossible de les compter. Les couleurs se juxtaposent sous différentes formes donnant des spectacles dont on ne se lasse pas. Des roches multicolores, des formes hallucinantes, une variété incroyable de paysages. Impossible de résister. Nous nous sommes arrêtés toutes les 5 minutes pour prendre une photo. Et que dire de ces routes qui montent sur l'altiplano en passant par des cols à plus de 4000 mètres. Ajoutons un salar par-ci (désert de sel comme à Uyuni), une petite montagne enneigée par-là.
Des changements de paysages entre la verte vallée autour de Salta avec des champs bien verts et les paysages arides de l'altiplano où les petits potagers sont un trésor pour le village. Iruya, Purmamarca, et la vallée del Toro, sont 3 sites à ne pas manquer si vous voyagez au nord-est de l'argentine, pour nous, c'est à ne pas manquer pour tout voyage en Argentine...
La laguna de Pozuelos vaut un détour, une concentration de flamands roses jamais rencontrés en Amerique du Sud (seulemement au Kenya où j'en ai vus beaucoup plus). Malheuresement, on les voit de loin. Les grandes salinas : impressionnantes sauf si on a déjà fait le Salar de Uyuni en Bolivie.
La Ruta 40, une aventure sur Altiplano a croiser Lama, Viscuna, et renard (on en a vu un!). Les Andes du nord-ouest argentin font partie d'un des highlights de l'Argentine.
En deux mots, à voir! Quelques conseils : méfiez-vous tout de même des périodes de janvier et février où les hôtels sont complets, novembre et décembre sont plus propices ou alors, prenez une tente!! Vu les prix des tours organisés, sitôt que l'on est deux, il vaut bien mieux louer une voiture où vous verrez 2 fois plus de choses
en 2 fois moins de temps. Le stop ne marche pas si bien et on a vu beaucoup de backpakers attendre longtemps pour se déplacer (les bus sont aussi souvent complets, réserver à l'avance).
Allez... une petite transgression pour vous raconter notre premier trajet sur la Ruta 40.
Nous avions déjà fait une partie de la ruta 40 entre El Chaiten et Perito Moreno en Patagonie, le 19 décembre. Voici sa description : 8H30 sur le billet pour un départ a 9H00, les bagages sont sur le toit, pourvu qu'il ne pleuve pas se disait-on sur la route, en voyant des gros nuages de pluie au loin. C'est juste un petit bus de 11-12 places. Le grand bus est cassé, du coup, le bus est vite complet, 4 places restantes seulement 4 jours avant. La navette ne tourne qu'en pleine saison, à partir de mi-novembre.
On quitte Elchaiten avec vue sur le très imposant glacier et le lac Viedma. Le confort est très minime dans ce bus touristique. Nous avons les places de derrière et en plus, du fait que les sieges ne sont pas inclinables (comme ceux devant nous), on a très peu de
place pour les jambes, un peu comme dans les bus indonésiens. Le bus prend son temps au début, on doit être à l'embranchement de la route 40 avec El calafayte à 11H00 seulement. D'habitude, c'est pour
prendre des passagers, ça se comprend. Là, c'est pour seulement donner à l'autre chauffeur du bus une courroie ou je ne sais quoi.
Au fur et à mesure que l'on avance, les estancia se font de plus en plus éloignés. C'est toujours le désert, on peut apercevoir les Andes au loin mais là où nous sommes, c'est plutôt plat. La route est en terre et cailloux. Pour le chauffeur, pas de problème, à fond à 80 km/h, on entend les cailloux se cognier contre le bas de
caisse du mini-bus. Par moment, on peut même sentir les chocs à nos pieds (j'ai l'aile d'une route sous le pied). Seulement quelques stations essence et de petits hameaux parsèment la route, on s'arrête pour une pause et le chauffeur change même un pneu vu l'état de détèrioration de celui-ci. Peu avant Perito Moreno, la
route est plus scénique et passe dans de jolis canyons.
Première fois de notre voyage, le bus perd un sac à dos. Ils sont supposés être bien attachés sur le toit mais il n'en ai rien. Pas de bol pour nous, c'est le sac de Lise qui valse a l arrière. Heureusement que les 2 autres holandais à coté de nous a l'arrière dans le bus ne dormaient pas. Ils s 'écrient tout d'un coup, STOP!!! Mais que se passe-t-il nous nous demandions lorsque le bus reculait? Le sac de Lise plein de poussieres trainait par terre. Au prochain arrêt, le chauffeur et son coéquipier se sont empress¨és de re-attacher plus fermement les sacs sur le toit.
Au niveau de la construction de la route, le chauffeur n'hésite pas à prendre la partie gourdonnée qui est encore fermée aux véhicules même s'il faut monter sur un talus pour y accéder. La ville de Perito moreno est bien plus morte que l'on ne l'aurait cru (4000 habitants), et finalement, le bus va jusqu'à Los Antigos à la
frontière chilienne, ce que nous voulions faire le lendemain. Ca tombe bien.
La chambre est peu chère puisque l'on paie le prix dortoir :-). Les 2 autres couples suisses-allemands partagent le même dortoir.
On mange le soir au même restaurant. Un mini-bus dans la rue nous propose même à 21H30 du soir d'aller à Chili Chico pour 5 pesos. Nous ferons le trajet le lendemain à midi. Le lendemain matin, nous préparons et réservons avec difficulté notre retour à Ushuaïa.
Le 25 décembre férié, moins de bus circulent (surtout pour
Ushuaïa où le dernier bus est le 23), et plus de personnes voyagent pour le fêtes. Nous prendrons le bus pour Rio Gallegos puis l'avion, où il est impossible de payer par carte banquaire car le délai de 5 jours est trop petit pour l'opération!?
A bientôt.
Lise et Nicolas.
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